Original post: December 29, 2010
Tout comme de nombreux éléments peuvent influer sur votre état physique et mental, de multiples facteurs interviennent dans l’état de santé de votre animal de compagnie. L’alimentation, le bilan nutritif, le niveau d’activité, la race ou le bagage génétique, ainsi que l’état émotif jouent tous un rôle important dans son état de santé. Il est tout à fait vrai de dire que « la santé est un choix ».Or, chacun de nos choix aura des répercussions sur le bien-être de notre animal de compagnie, à partir du moment où nous choisissons une race ou. Bien sûr, certaines maladies sont purement génétiques, mais même la plupart d’entre elles peuvent être atténuées grâce à une bonne alimentation et à un mode de vie sain, c’est-à-dire à la prévention. Un chien de grande taille comme le grand danois, par exemple, sera plus susceptible de souffrir de problèmes de dégénérescence de la hanche ou des articulations qu’un chihuahua. En outre, au sein d’une même race, la lignée peut avoir des prédispositions qui se manifesteront chez les parents et les compagnons de portée de l’animal. Dans ce cas, il faut s’assurer que l’alimentation de son animal comprend suffisamment de glucosamine, de chondroïtine, de vitamine D, de calcium, de magnésium et de cuivre pour réduire les risques d’apparition prématurée d’un tel état. L’addition de phytoantioxydants à l’alimentation aidera aussi à protéger les tissus et à préserver l’activité anti-inflammatoire naturelle tout au long de la vie de l’animal. La nutrition, facteur dont nous sommes maîtres, jouera un rôle considérable dans la prévention et le traitement des maladies. Les études montrent que les antioxydants interviennent de manière notable dans l’activité génétique, préservant la fonction génétique. L’oxydation peut nuire à l’efficacité des gènes. Le chondrocyte, cellule responsable de la production de collagène dans le tissu cartilagineux des articulations, en est un exemple parfait. L’oxydation peut contribuer à le rendre inefficace, nuisant à sa capacité de mettre à profit les éléments constitutifs de la glucosamine. Par conséquent, la propriété naturelle de cette cellule de réparer le collagène et le cartilage à mesure qu’ils sont détériorés par l’usure quotidienne diminue. Un supplément de glucosamine ne sera pas utilisé par les chondrocytes dont l’efficacité est amoindrie par l’oxydation. Certains animaux peuvent être simplement plus sensibles que d’autres à ce genre d’oxydation qui se manifestera sous la forme d’une prédisposition à l’arthrite ou à d’autres troubles articulaires. L’oxydation et les antioxydants ont aussi des rôles importants à jouer sur le plan de l’activité génétique et des maladies. La notion de maladie génétique est encore mal comprise. Nous avons un bagage génétique inné de maladies, tout comme nos animaux de compagnie. Nous disposons aussi de codes conçus our maintenir la santé et la vigueur. La façon dont ces gènes sont exprimés ou interprétés sur le plan biologique dépend des processus chimiques qui les entourent. Compliqué? Pas vraiment. Les aliments que nous consommons, les antioxydants que nous prenons en suppléments, le mode de vie que nous menons, les toxines que nous laissons entrer dans notre vi et le stress que nous vivons contribuent tous à manipuler les éléments chimiques de l’organisme et de chacune des cellules. Les maladies génétiques peuvent être activées par ces transformations chimiques. Si le milieu chimique est sain et neutre sur le plan de l’oxydation, il contribuera à maintenir les gènes appropriés de la santé en position activée, tout en gardant les gènes porteurs de maladie en position relativement désactivée. Bien sûr, il s’agit là d’une simplification d’une activité biologique complexe de l’organisme, mais si l’on met de côté les complexités scientifiques, tout se résume à des choix quotidiens fondamentaux. Aujourd’hui, plus que jamais auparavant, nous sommes davantage exposés à la pollution environnementale et à l’oxydation. Pour permettre à nos cellules et à celles de nos animaux de compagnie de se comporter comme la nature l’a prévu, nous devons opposer à cette oxydation accrue un taux supérieur d’antioxydants. Heureusement, nos cellules et celles de nos compagnons sont en mesure de fabriquer des antioxydants endogènes, mais ceux-ci ne sont toutefois pas suffisants pour contrer les assauts extraordinairement élevés de notre environnement. De plus, à mesure que nos compagnons et nous-mêmes vieillissons, production interne d’antioxydants diminue, de sorte que les suppléments pris par voie orale deviennent souvent encore plus importants.
Les choix alimentaires que nous faisons pour nos compagnons peuvent aussi contribuer soit à l’oxydation, soit à désamorcer un taux élevé d’oxydation. Les aliments transformés qui fournissent des éléments nutritifs altérés tendent à ajouter à la charge oxydante, tandis que les aliments entiers et frais aident à désamorcer cette activité néfaste. Nous pouvons aussi ajouter des suppléments générauxde vitamines, de minéraux et d’antioxydants àl’alimentation pour compenser. Nous pouvonsde plus choisir des antioxydants ciblés et deséléments constitutifs nutritifs conçus pour protégeret rétablir la santé des tissus articulaires.Une préparation alimentaire qui inclut letype approprié d’extraits de boswellia
(Boswelliaserrata) et de pamplemousse, de vitamineC, de chondroïtine à faible poids moléculaire,de glucosamine et de MSM en quantités eten proportions bien dosées, peut aider à maintenir=les chondrocytes en position activée. Cette combinaison appropriée protège les cellulescontre les effets nocifs d’une oxydation incontrôlée, tout en leur apportant les éléments constitutifs nécessaires au collagène afin qu’elles puissent réparer les articulations et en rétablir la santé. Il ne faut pas attendre que les symptômes de la maladie fassent leur apparition. En appliquant de façon proactive ces solutions qui ciblent les articulations, vous vous assurez que les cellules réparatrices spécialisées oeuvrent au maintien quotidien du cartilage, et qu’il n’y a aucun retard dans le processus. La prévention est toujours la meilleure solution. Il est possible de prévenir les maladies articulaires, quelles que soient les prédispositions de la race. Placé dans des conditions favorables, le corps a une affinité naturelle pour la santé et le bien-être. Certains animaux ont simplement besoin d’un peu plus de nutriments protecteurs et activateurs que d’autres pour maintenir l’intégrité de leurs tissus articulaires. L’application de ces solutions naturelles avant l’apparition de la maladie prévient des douleurs, des stress et des factures vétérinaires inutiles, tout en préservant la qualité de vie.
Franco Cavaleri est président et chef de direction, ainsi que directeur de recherche de BiologicNutritional Research Inc. (www.biologicpharmamedical.com) et conseiller auprès d’entreprises oeuvrant dans le domaine de l’alimentation humaine et animale. En avril 2004, il a été intronisé au Temple de la renommée de la nutrition sportive de l’ACAS pour ses efforts et sa contribution au sein des industries des soins de santé et de la nutrition sportive.
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